NT Foundation - Quelques faits concrets
 
 
 
 
Quelques faits concrets
 

                                                                   Docteur  Nguyễn Khắc Viện

Que devons nous faire à l'heure actuelle ?

Par quoi devons nous commencer ? Quelle voie choisir ? Nous espérons qu'avec ce travail nous avons plus ou moins contribué à répondre à ses questions ?

Nous allons tout d'abord présenter quelques faits concrets.

Un enfant de 6 ans, en première année d'école, ne veut pas étudier ou est sans cesse en train de pleunicher ; il est rendu à ses parents par la maîtresse qui dit qu'il est incapacité d'apprendre. L'enfant est ausculté par un médecin qui le trouve en bonne santé, par ailleurs, la famille fournit à l'enfant de bonnes conditions pour la nourriture et les études, les parents s'occoupent de lui : Que faire ? A qui demander conseil ?Quel est l'organisme spécialisé qui peut aider à traiter un tel cas ? Quelqu'un indique de s'adresser à un cabinet de consultation psychologique de N-T.

Là, un pédiatre pratique une auscultation minutieuse. Puis un psychologue observe les réactions de l'enfant pendant l'entretien, pendant qu'il joue, fait l'anamnèse en interrogeant les parents à propos d'éventuels événements ou incidents marquants qui ont eu lieu depuis la naissance. Après lui avoir fait passer des tests, le niveau intellectuel de l'enfant est jugé normal, indiquant qu'il est en capacité d'apprendre. Ce n'est pas un cas de retard mental qui l'empêche de suivre normalement sa classe. L'enfant ne veut pas apprendre parce que son esprit présente des troubles dont il faut le dégager afin qu'il accepte d'apprendre ; Ce n'est pas pédagogie de la maitresse qui est à remettre en cause. Deux méthodes de psychologie clinique qui sont le dessin et l'intérrogation pour connaître les choses dans le moindre détail, ont été utilisées. Après avoir demandé à l'enfant de faire un dessin sur sa famille, on le voit ce dessiner au milieu de ses parents, tenant d'un côté la main de son père, et de l'autre celle de sa mère. Le psychologue, qui connait l'existence de sa petite soeur de deux ans, lui demande où elle se trouve. Il lui a répondu : « C'est une fille, elle n'appartient pas à notre famille parce que quand elle sera grande, elle se mariera et suivra la famille de son mari ». Ainsi, l'indice est devenu clair : l'enfant est jaloux de sa soeur qui reste à la maison et occoupe toute l'attention de ses parents, alors que lui, il est comme puni, doit aller à l'école, loin de la maison, loin de ses parents. Après avoir compris l'histoire le psychologue a conseillé aux parents de modifier leur comportement, de ne pas sans cesse lui répéter « Tu es grand maintenant, pourquoi es-tu si vilain, ta soeur est bien plus sage !». Les parents devraient lui confier des petites responsabilités et lui dire : « Ta soeur est encore trop petite, elle ne peut pas le faire, nous te faisons confiance. Apprends lui à jouer gentiment, et, dans la rue, tu la protégeras de ceux qui veulent l'embêter. Quand tu auras bien appris, tu lui apprendras à lire et à écrire comme la maitresse ».

Dire qu'il s'agit ici d'un cas pathologique est trop exagéré, mais si l'on n'avait pas trouvé l'indice, les conséquences auraient été difficiles à prévoir. Peut-être qu'en grandissant, plusieurs mois après, l'enfant aurait accepté d'apprendre, mais il n'en aurait pas moins perdu du temps et que peut-être même il aurait été jusqu'à redoubler sa classe. Souvent, les enfants qui redoublent leur première année d'école, commencent leur vie scolaire sur un lourd échec, sont facilement dégoûtés de l'école et par la suite ont tendance à abandonner les études.

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Ci-après, nous allons relater un cas contraire au précédent. Un écolier de presque 9 ans, a dû changer plusieurs fois de classes, avoir plusieurs maitres car au bout de plusieurs mois, tous les intituteurs, sans exception, affirmaient qu'il avait un retard mental et qu'il devait suivre des classes spéciales. Mais les parents, de grands intellectuels, disaient que dans toute la lignée familiale, le plus bas diplôme obtenu est un diplôme universitaire et qu'il ne pouvait pas y avoir de cas de retard mental. C'était l'enseignement des instituteurs qui était à mettre en cause. C'est ainsi que l'enfant a dû changer et d'écoles et de maîtres pendant trois années consécutives.  Ce qui n'a servi, en fin de conpte, à rien. Finalement, on est arrivé à emmener l'enfant en consultation psychologique à obtenir les preuves que les parents eux mêmes ont jugés scientifiques pour être enfin convaincus que l'enfant n'était pas apte à apprendre normalement. Trois ans de perdus, trois ans pénibles pour l'enfant, trois ans pénibles pour les parents. Pénibles aussi pour les instituteurs et créant beaucoup de difficultés dans les classes normales entravées par un enfant présentant un retard mental.

Voici l'histoire d'un troisième cas : c'est aussi un écolier de la première classe d'école, turbulent, ne voulant pas écouter la maîtresse, qui somnole souvent. A l'auscultation, on voit qu'il est en bonne santé, qu'il a un bon niveau intellectuel. Quand on lui demande de dessiner, il fait un robot parfaitement détaillé, portant une longue épée et se défendant contre un tas de serpents. L'ensemble du dessin est bien disposé, montrant que l'on a affaire avec un enfant intelligent mais qui ne veut pas apprendre. Pour quelle raison ? En parlant de choses et d'autres, non pas avec l'enfant ni avec les parents, mais avec le grand-père paternel, on a su que depuis quelques mois, le papa a commencé à se lancer dans les affaires, en dehors des heures de son travail, passe son temps avec ses clients, rentre rarement manger à la maison, qu'après un bon repas, il s'attarde de temps à autre avec les serveuses ; le couple est en désaccord, se dispute devant l'enfant et parle de temps en temps de divorcer. L'enfant se montre inquiet, a des nuits agitées, arrive en classe complètement dispersé et s'endort facilement. Le problème ne se limite pas à l'enfant seul et il a fallu discuter avec le grand-père de la façon de faire prendre conscience aux parents de leur responsabilité.

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Un quatrième cas concerne un enfant de presque 7 ans dont le père est venu se confier seul : « Je suis très inquiet pour mon fils de 6 ans et demi qui ment, vole de l'argent, manque les cours pour aller s'amuser avec ses amis. Je l'ai grondé sans effet, je l'ai battu ; au début il avait encore peur, mais maintenant, il ricane quand je le bats comme pour me défier. Comment tout cela va-t-il se terminer ? ».

C'est aussi le cas d'un écolier qui a une bonne santé, intelligent. En essayant de savoir comment cela a pu évoluer ainsi, le père a été emmené à raconter : quand le petit a eu 2 ans, le père est allé faire sa thèse à l'étranger et lorsqu'il est rentré, son fils avait 5 ans. Pendant ces trois ans, son fils et sa mère vivaient ensemble, seuls à la maison. Dès son retour, le père a repris d'office son rôle pricipal dans la famille, prenant des décisions sur beaucoup de choses : Le père supporte mal le côté borné de son fils, accuse la mère de l'avoir trop gâté et décide de le mettre au pas. L'année d'après, la mère donne naissance à un autre enfant, et le fils entre à l'école en première classe. L'enfant devient de plus en plus têtu, désobéit de plus en plus, puis il en arrive à voler de l'argent, à faire l'école buissonnière. La maîtresse est venue chez les parents pour les avertir qu'il y a 1 à 2 enfants de la même rue qui l'entraînent, qu'il faut le séparer d'eux, qu'il faut mieux le surveiller, être plus sévère avec lui. Au début, cela semblait une solution raisonable mais la façon acharnée avec laquelle réagissait l'enfant nous a amenés à agir dans une autre direction. Le père lui-même nous a dit : « Je vois dans son regard, à chaque fois qu'il ricane en provocation, qu'il ne me considère pas comme son père mais comme un ennemi ! ». Il est difficile de ne pas se référer au concept en psychiatrie qui est le complexe d'Oedipe : les petits garçons de 2 à 5 ans voient tous en leur père un ennemi qui s'approprie l'amour de leur mère, ils vivent dans un état contradictoire, aimant respectueusement leur père tout en éprouvant de la jalousie à son regard. Quand tout se passe normalement, vers l'âge de 5-6ans, grâce à une plus grande conscience des réalités, les sentiments et les émotions se détachent d'un égocentrisme absolu et le complexe d'Oedipe s'estompe.

Dans des circonstances anormales, comme dans le cas de l'absence du père durant de longues années alors que l'enfant est âgé de 2 à 5 ans, la mère et l'enfant, restés à la maison, se dorlotent mutuellement, concentrent leur affection l'un sur l'autre, l'enfant s'est approprié sa mère pour lui seul, quand soudainement, un étranger venu d'on ne sait où, vient s'insérer tous les jours de la vie entre la mère et l'enfant, s'empare non seulement de sa mère, mais provoque encore des bouleversements dans la maison et astreint l'enfant à une discipline sévère.

Comment ne pas se sentir lésé et ne pas chercher à se venger ? Si l'on devait juste discuter de philosophie entre amis, être pour ou contre la théorie de Freud n'a pas grande importance. Mais dans ce cas concret comment réagir ? Soit se contenter de suivre la voie principale qui consiste à séparer l'enfant de ses mauvaises fréquentations, suggérer aux parents et aux maîtres de le surveiller de plus près et d'être plus sévère avec lui, soit bien faire prendre conscience au père et à la mère du complexe d'Oedipe afin qu'ils changent leur attitude et leur comportement de tous les jours vis-à-vis de l'enfant dans le but de reconstruire les liens d'affection entre le père et l'enfant qui ont été interrompus sur une longue période. Dans chaque cas individuel, les psychologues doivent faire le choix entre plusieurs voies de traitement. Pour cela ils se doivent d'étudier les grandes théories dont les fondements ont déjà plus ou moins été éprouvés par la pratique.

La psychologie clinique ne se borne pas à faire de chaque cas un cas particulier; elle peut entrevoir une façon générale de traiter à partir d'un cas clinique concret. Nous relatons brièvement les deux cas suivants:

1. Un garçon de 11 ans quitte la maison, manque l'école, vole et ment. Aucun signe particulier n'est détecté lors des consultations médicale et psychologique; une enquête menée auprès de la famille indique que les parents sont divorcés, que l'enfant vit avec son père et sa seconde femme. Depuis l'âge de 10 ans, sont apparus les faits suivants: le père bat l'enfant de façon sauvage, le ligote puis le bat, lui cogne la tête sur la table. L'enfant réagit fortement, va errer dans les rues, finalement sa grand-mère maternelle le prend chez elle pour s'en occuper. Elle l'emmène en consultation psychologique. Vivant chez sa grand-mère, soigné par les psychologues, l'enfant se remet progressivement à étudier, il ment et vole moins. Cependant, quelques temps après, le père vient réclamer l'enfant à sa grand-mère maternelle, car c'est son "droit" et la famille du côté du père argumente que le fils aîné de la lignée ne "peut en aucun cas être élevé par la famille du côté de la mère". Chaque fois que le père menace de reprendre l'enfant, celui-ci se remet à manquer l'école, ce qui le pousse à voler et à errer. Ce cas pose un problème devant la loi: il y a d'un côté le droit du père qui affirme que c'est :son" fils et le droit de la famille paternelle qui peut réclamer le fils aîné de la lignée et il y a d'un autre côté le droit de l'enfant de vouloir vivre avec sa grand-mère maternelle alors qu'il est sauvagement maltraité par son père. Il devient nécessaire que le droit de l'enfant soit protégé par des décrets de loi. Les cabinets de consultation ne peuvent que s'en référer aux organismes de droit.

2. Un enfant de 9 ans est soudainement devenu peureux, joue peu avec ses amis, a des tics et travaille mal en classe. Le département de psychiatrie de l'hôpital de l'Enfant I (Ho Chi Minh ville) n'ayant rien trouvé de particulier après auscultation, l'a envoyé au service de psychologie, soupçonnant un retard mental. Dans le dossier de l'enfant, il est indiqué que son nom de famille est Lâm et qu'il habite dans le 10e arrondissement, dans une rue où il n'y a que des Hoa. Cela suggère immédiatement les difficultés auxquelles l'enfant est confronté pour apprendre le vietnamien. En 1ère et 2e classe, c'est encore facile; cela devient plus difficile en 3e classe où il n'arrive pas à suivre ses camarades, ce qui le rend craintif et complexé. Après l'avoir interrogé, on sait que dans cette famille Hoa, tout le monde parle la langue Hoa, la grand-mère paternelle qui est le chef de famille et la mère ne parlent pas le vietnamien, il n'y a le père qui parle vietnamien mais pas de façon courante. Le matin, devant apprendre le vietnamien, l'après-midi, la grand-mère l'obligeant à apprendre le Hoa, l'enfant doit ainsi subir deux types de contraintes, venant d'une part de la famille, d'autre part de l'école. C'est le lot commun à tous les enfants des familles Hoa vivant dans ces quartiers où ils exercent une activité économique. A partir de ce cas particulier, on voit clairement que dans les écoles des arrondissements où vivent les Hoa, il est nécessaire d'avoir une orientation spéciale pour aider les enfants Hoa à apprendre le vietnamien afin qu'ils puissent suivre le niveau général.

Nous venons de montrer ci-dessus un certain nombre de cas où l'on voit clairement les problèmes qui se posent lorsqu'on veut vraiment "faire" de la psychologie et ne pas seulement se contenter de discuter, enseigner et écrire des livres. Nous avons présenté essentiellement des cas d'enfants de 6-7 ans venant d'entrer à l'école. En fait, le temps d'une vie qui s'écoule depuis qu'on est dans le ventre de sa mère, que l'on naît jusqu'à l'âge de l'adolescence connaît plusieurs environnements dans une société sans cesse en changement. Il est ainsi nécessaire de créer une spécialité de psychologie et de psychopathologie pour l'enfant de façon structurée.

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Création d'une nouvelle discipline:

Psychologie clinique et psychopathologie au Vietnam

La création d'une discipline scientifique requiet deux orientations:

- Partir des besoins humains et sociaux, du point de vue de l'individu aussi bien que de celui de la communauté et de l'Etat.

-Prendre connaissance des théories et des expériences pratiques des autres pays en avance par rapport à nous.

En sciences naturelles, il suffit d'envoyer des étudiants et des chercheurs à l'étranger ou bien encore inviter des spécialistes à enseigner pour posséder les bases principales. Le transfert de technologie peut atteindre de 100%. Pour adapter les techniques aux conditions du pays, comme la tropicalisation des machines, il suffit d'appliquer des principes scientifiques fondamentaux bien connus dans les pays développés. Au contraire dans le domaine des sciences humaines, apprendre ce qui se fait dans les autres pays est très important mais il n'est pas possible d'appliquer entièrement le savoir-faire, les concepts, les théories à l'homme et de la société du Vietnam. Il faut principalement partir des réalités de l'homme et de la société du Vietnam. Il faut former un réseau de cadres spécialistes compétents pour résoudre les besoins concrets, tirer des expériences à partir desquelles on peut comparer avec le savoir-faire, les concepts, les théories des autres pays et ainsi déterminer ce qui est général pour tous les peuples et ce qui est particulier à notre peuple. Un Vietnamien avec des doctorats en psychologie et en sociologie obtenus aux Etats-Unis ou en France, ne devient un vrai psychologue vietnamien qu'après avoir longuement travaillé en contact avec la réalité vietnamienne. Un spécialiste étranger, aussi expert qu'il soit, ne peut saisir tous les côtés de l'homme et de la société vietnamienne comme seul quelqu'un du pays peut le comprendre.

Pour traduire les cours spécialisés, les livres étrangers en vietnamien à partir d'un langage différent, même les très bons traducteurs ne peuvent refléter entièrement le contenu. Si l'on compare les textes originaux et les textes traduits, on perd beaucoup du contenu et il y a même souvent des contresens. Le langage en science humaine est plein de subtilité, le contenu de chaque mot se rapporte à plusieurs concepts, idéologies, religions, traditions qui reposent sur une base culturelle de longue date. Un bon traducteur se doit d'être compétent en trois matières:

- En langue étrangère. Cinq années d'étude de langue française dans une université vietnamienne ne peuvent servir couramment que dans le tourisme, la diplomatie et le commerce. Et même, si l'on est en plus un enseignant, on n'est pas plus apte à traduire de la psychologie. Pour faire l'étude en sciences hamaines d'un pays d'Europe, il faut connaître la culture grécoromaine, le christianisme, la Renaissance et la Révolution française, et une série de théories qui ont fleuri aux XIXe et XXe siècles. Et pour posséder tout ce fond culturel, il faut avoir fait 10 à 15 années d'études épuisantes qui vont alors pouvoir servir de base au travail de traduction.

- En vietnamien, en psychologie comme dans d'autres sciences hamaines, le sino-vietnamien est très utilisé pour la richesse de son vocabulaire. Si le traducteur n'a pas cette connaissance, sa traduction sera trop mot à mot avec des expressions non appropriées, des phrases difficiles à compredre. Pour créer une psychologie à caractère vietnamien, vietnamiser les expériences réalisées dans d'autres pays, le psychologue doit aussi posséder le sino-vietnamien.

La discipline de psychologie doit disposer de beaucoup de livres, documents, trvaux rédigés en bon vietnamien, une terminologie précise, il faut que la prose soit coulante. Les personnes qui rédigent et qui traduisent doivent répondre aux 3 critères suivants:

- Bon en psychologie;

- Bon en sino-vietnamien;

- Bon en langue étrangère.

Avoir des structures où l'on peut appréhender la réalité sociale et humaine, disposer de livres en quantité suffisante, c'est pouvoir donner aux étudiants et aux chercheurs les moyens de faire à la fois de la théorie et de la prqtique, ainsi que d'avoir les conditions pour former une équipe de spécialistes de tous niveaux, de plus en plus nombreux et de plus en plus compétents.

Depuis le jour de sa création, alors qu'il est parti de rien, le centre N-T a décidé de mettre en place un système qui comprend:

- Des structures pour la pratique: consultation-test-traitement;

- Une bibliothèque spécialisée;

- Une équipe de cadres spécialisés en psychologie, de niveau secondaire et universitaire.

Avec ce qui a été investi de 1989 à 1994, le centre N-T s'est engagé à réaliser ce projet, espérant contribuer à la construction de la psychologie de l'enfant et de l'adolescent dans notre pays. Et pendant les deux années de 1994 à 1996, la réclisation de ce projet a effectivement permis de réaliser un pas en avant dans l'élaboration des premières bases de cette discipline.

 
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